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25 févr. 2009

Sang et Tissus Dans Des Fossiles de Dinosaures!

par Carl Wieland

De vrais globules rouges provenant d’ossements fossilisés d’un Tyrannosaurus rex ? Avec des traces d’hémoglobine (protéine porteuse d’oxygène qui donne au sang sa couleur) ? Idée absurde pour ceux qui croient que ces vestiges de dinosaures datent d’au moins 65 millions d’années.

Par contre, ceux qui croient à la Genèse ne sont, bien sûr, pas du tout troublés, car pour eux les vestiges de dinosaures ont tout au plus quelques milliers d’années.

Dans un article récent1 publié par des scientifiques de l’Université de l’État du Montana, les auteurs ont apparemment de la peine à retenir leurs excitations et à faire preuve de prudence professionnelle devant les résultats de leurs travaux qui semblent indiquer de manière convaincante, la présence de sang chez un spécimen de T. rex.

Tout a commencé lorsqu’un squelette remarquablement bien préservé d’un T. rex a été déterré en 1990 aux États Unis. L’analyse des ossements transportés au laboratoire de l’Université de l’État du Montana a révélé que « certaines zones profondes du grand os d’une patte ne sont pas entièrement fossilisées ». Le fait d’avoir trouvé des ossements non fossilisés d’un dinosaure constitue déjà un élément qui cadre mieux avec l’hypothèse d’une date récente pour les fossiles (voir encart).

Mais laissons plutôt la parole à Mary Schweitzer, la scientifique la plus concernée par cette trouvaille, pour qu’elle nous relate son expérience lorsque à tour de rôle ses collègues ont examiné au microscope une fine lamelle de ces ossements de T. rex comportant des canaux de vaisseaux sanguins.

« L’étonnement a envahi le laboratoire, car je venais de repérer quelque chose dans les vaisseaux que personne n’avait remarqué jusque là : De minuscules objets ronds et d’un rouge translucide avec un centre foncé. Puis un collègue, au premier coup d’œil dans la lunette, s’est exclamé « Mais, ce sont des globules rouges que tu as là, ce sont des globules rouges2 Schweitzer fait part de ses doutes à son patron, Jack Horner. Comment peut-il s’agir de vrais globules rouges ? Ce célèbre paléontologue surnommé Jack aux Dinosaures lui lance un défi : qu’elle tente de prouver qu’il s’agit d’autre chose. Aujourd’hui, elle doit cependant avouer : « Nous n’avons toujours pas réussi à le faire ».

T-Rex soft tissue
Photos de Mary H. Schweitzer

Gauche: Vaisseaux sanguins.
Droit: Globules rouges dans un vaissel.

Évidemment, il serait tentant de rechercher de l’ADN de dinosaure dans un spécimen de ce genre. Mais des fragments d’ADN provenant de champignons, de bactéries et d’empreintes digitales humaines se trouvent aussi un peu partout. Bien que l’équipe du Montana ait en effet trouvé parmi les traces d’ADN de champignons, d’insectes et de bactéries un certain nombre de séquences non identifiables d’ADN, elle n’était pas en mesure d’affirmer qu’il ne s’agissait pas de séquences brouillées d’organismes contemporains. Cependant, ce problème ne se pose pas pour l’hémoglobine, c’est à dire la protéine qui donne au sang sa couleur rouge et qui transporte l’oxygène. L’équipe a donc recherché cette substance dans l’os du fossile.


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24 févr. 2009

L'origine des langues, des peuples et des races

Pierre Danis


Genèse 11 v 1 à 9 :

Il y a environ 4500 ans, il n'y avait qu'une seule famille, celle de Noé, car le cataclysme mondial du déluge avait éliminé tous les autres descendants d'Adam et Eve, une centaine d'années plus tôt. Ils parlaient la même langue (ils utilisaient le même code de mots) et habitaient la même région, la Mésopotamie, berceau de toutes les civilisations actuelles. Il n'y avait pas de races (groupes ethniques) puisqu'ils se mariaient entre eux, et toutes les caractéristiques physiques étaient manifestées.

Par exemple : Cham en hébreu = chaud ou bronzé, Kouch = noir, et plus tard Laban = blanc, Esaü = roux. La plupart des scientifiques créationnistes pensent qu'avant Babel, toute la palette de couleurs était représentée, mais que la couleur de peau dominante était le brun moyen.

Ils construisirent des villes avec des briques qu'ils maçonnèrent avec du bitume, puis bâtirent la fameuse tour de Babel, symbole de leur orgueil et de leur rébellion contre le Créateur (depuis ce temps-là, les hommes ont la manie de construire des tours). Ils ne voulaient pas être disséminés à la surface de toute la terre, contrairement à l'ordre de Dieu (Ge 9 v 1).

L'avantage de parler la même langue est de pouvoir mettre notre intelligence en commun et de travailler ensemble, mais à cause du péché, cela ne peut aboutir qu'au mal. Alors Dieu envoie un jugement, un châtiment : la confusion (Babel en hébreu). Les hommes ne se comprenant plus ont abandonné le chantier, et se sont rassemblé par groupes linguistiques, puis Dieu les a disséminés dans toutes les directions.

A partir de ce moment-là, ils cessèrent de se mélanger et ne se marièrent plus qu'au sein de leur groupe respectif, à cause de la barrière de la langue et de l'isolement géographique. C'est ainsi que se sont fixées les différentes caractéristiques physiques au sein de chaque peuple (taille, forme du nez et des yeux, couleur de peau et de cheveux...), donnant émergence à ce que nous appelons “races”. Il n'y a qu'un seul pigment (colorant) qui détermine la couleur de la peau, des yeux et des cheveux : La mélanine, et c'est son dosage qui fait les différentes couleurs, allant du brun foncé au beige clair. Le facteur principal est génétique, et non pas climatique ou nutritionnel. Chaque tribu a perdue quelques informations génétiques, ou subie quelques mutations mineures, mais n'a absolument pas acquis de nouvelles informations. Le même processus s'est produit dans le règne animal et végétal. Le créateur a prévu des variations au sein de chaque espèce, mais une espèce ne peut pas se transformer en une autre, comme le croient les évolutionnistes, en fait chacune se reproduit selon son espèce ( genèse 1 v 12 et 25).

C'est ainsi que sont nés les différents groupes ethniques ou tribus qui sont à l'origine des peuples d'aujourd'hui (au cours de l'histoire, certains groupes ont disparu, d'autres ont été absorbés, et d'autres se sont mélangé).

La notion de races supérieures ou inférieures est donc totalement fausse et non-scientifique, puisque nous sommes tous de la même famille d'origine. Le racisme est un fruit empoisonné de l'orgueil humain, et a été exacerbé par la doctrine erronée de “l'évolution des espèces” qui dit que certains peuples ont évolué plus vite, et ont supplanté les autres par la sélection naturelle (survie du plus fort au détriment du plus faible), ce qui justifie les génocides racistes et les “épurations ethniques”.

Il est vrai que des groupes ont perdu certaines connaissances technologiques (métallurgie, maçonnerie) ou agricoles, et ont adopté un mode de vie simple et rudimentaire (chasse, pêche, cueillette...) qu'ils ont gardé jusqu'à nos jours.

Ceux qui ont émigré vers le nord ont été confrontés au climat rude et froid de l'ère glaciaire, et se sont contentés d'habiter provisoirement dans des cavernes (Neandertal, Cro-magnon...).

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