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25 juil. 2011

Une clochette en or de l’époque du Second Temple retrouvée à Jérusalem

25 juillet 2011 7 h 51 min
A la une, Archéologie

Le Département israélien des Antiquités a annoncé la découverte d’une clochette en or d’environ de deux milles ans lors de fouilles effectuées dans l’antique conduite d’eau partant du quartier de Siloé, à l’extérieur des murailles de la vieille ville de Jérusalem, et allant jusqu’au parvis du Temple. La clochette, très bien conservée, a été retrouvée juste en dessous du Mur occidental.



Les fouilles de l’ancien canal de drainage des eaux sont menées depuis 7 ans sous la direction de l’archéologue Eli Shoukroun et financées par l’association Elad. Déjà, dans le passé, des pièces de monnaies de l’époque de la Grande Révolte ainsi que divers ustensiles de la période du Second Temple avait été découverts dans ce lieu. Selon Flavuis Josèphe, c’est par ce canal que les révoltés juifs ont essayé de quitter Jérusalem mais ont été rattrapés par les soldats romains et massacrés sauvagement.

Pour les archéologues et les spécialistes de la période du Second Temple, il s’agirait d’une clochette qui devait être attachée au vêtement du Grand Prêtre selon les descriptions données par le Bible et les sources juives anciennes.

“Il semble bien que la clochette était cousue au vêtement d’un prêtre important de Jérusalem de la fin du Second Temple” déclaré Eli Shoukroun.

La clochette d’un centimètre et demi de diamètre est en or pur. Lorsque le prêtre se déplaçait, toutes les clochettes de son vêtement sonnaient. Il est tout à fait vraisemblable que cette clochette appartenait au Grand Prêtre comme il est décrit dans le livre de l’Exode : “Sur ses pans, tu feras des grenades de pourpre violette, de pourpre rouge et cramoisi éclatant – sur ses pans tout autour – et parmi elle, des clochettes d’or tout autour : une clochette d’or, une grenade, sur les pans de la robe tout autour. Elle sera sur Aaron quand il officiera ; le son des clochettes se fera entendre quand il entrera devant le Seigneur dans le sanctuaire et quand il en sortira ; ainsi, il ne mourra pas.” (Ex. 28, 33-35).

Source . Un Echo d’Israël – 23 juillet 2011

14 juil. 2011

Les dinosaures, les dragons et la Bible

La vidéo est en anglais mais possibilité d'afficher les sous-titres en français en cliquant sur "CC" en bas à droite de la vidéo (il faudra déterminer la langue dans les paramètres, il faut cliquer sur l'icône d'engrenage à droite de "CC")

12 juil. 2011

La Bible dit vrai

Les chromosomes et Genèse 2.21-22

par Sinaseli TSHIBWABWA, Ph.D.

Introduction

De nombreuses connaissances scientifiques, loin d’éloigner la science de la parole de Dieu, l’en rapprochent davantage. L’histoire de la découverte des chromosomes en est un exemple frappant. Les scientifiques qui les ont découverts ont affirmé que ces structures permettaient, entre autres faits, d’établir la différence entre l’homme et la femme. Les auteurs de la Bible n’en connaissaient pas l’existence, mais, il semble que Moïse (auteur de la Genèse) ait exprimé avec ses propres mots certaines réalités qui lui étaient révélées au sujet de la création de la femme. Quel rapport peut-on établir entre la découverte des chromosomes et les versets 21 et 22 du chapitre 2 de la Genèse? Le point de vue énoncé dans cet article, quoique purement théorique, soulève un questionnement et permet de montrer qu’il existe une nette similitude entre certaines connaissances scientifiques et la Bible.

Les chromosomes

Chromosomes humains

Les chromosomes sont des organites permanents que l’on trouve dans le noyau de la cellule de chaque être vivant. En 1875, Strasburger, en étudiant la division des cellules végétales, découvrit des filaments. Poursuivant les mêmes études, W. Flemming observa en 1879 que ces structures présentaient une grande affinité pour des colorants basiques. De ce fait, il les nomma chromatine. Plus tard, ces études furent confirmées par d’autres auteurs, notamment E. Strasburger (1880), W. Flemming (1881) et E. Van Beneden (1883) qui, indépendamment les uns des autres, observèrent le phénomène biologique connu sous le nom d’individualisation de la chromatine. Ce n’est qu’en 1888 que W. Waldeyer donna le nom de chromosomes (c’est-à-dire corps colorés) aux filaments individualisés observés dans le noyau de la cellule au cours de sa division.

Un chromosome contient une molécule d’ADN (Acide désoxyribonucléique). L’information génétique totale stockée dans les chromosomes d’un organisme constitue son génome. Par exemple, le génome d’Escherishia coli ou E. coli (cette fameuse bactérie qui a causé la mort de plusieurs personnes au Canada en juillet 2000 par contamination de l’eau potable) est constitué de 4,7 x 106 paires de nucléotides d’ADN, qui sont contenues dans un seul chromosome. Le génome de l’homme est constitué d’environ 3 x 109 paires de nucléotides d’ADN empaquetés dans 23 chromosomes, dont 22 sont appelés autosomes différents et une autre paire de chromosomes, dits chromosomes sexuels, également différents. Même si ces quantités semblent sortir d’un livre de contes imaginaires, elles sont bien réelles! La science est formelle à ce sujet. Chaque cellule humaine contient 46 chromosomes et environ 6 x 109 paires de nucléotides d’ADN. Pour avoir une idée de ce que cela pourrait représenter, faisons une petite comparaison. Une encyclopédie de 6 x 109 lettres aurait un million de pages. Si ces pages étaient empilées les unes sur les autres, elles auraient la hauteur d’un édifice de 21 étages! Pourtant, 6 x 109 paires de nucléotides d’ADN d’un génome d’animal occupent un espace équivalent à un minuscule cube de 1,9 µm de côté (1 µm est égal à 0,0000001 mètre). Il faudrait donc, pour notre encyclopédie, 1017 fois plus d’espace. Nous devons reconnaître qu’en terme de miniaturisation, la » nature » fait bien les choses. Quelle aurait été la taille de l’homme et même de tous les animaux si l’un de ces constituants quasi invisibles à l’œil nu avait dû occuper un espace aussi grand qu’un livre d’un million de pages ? On aurait peut-être parlé d’un gigantisme dépassant celui des dinosaures !

Les découvertes ne s’arrêtèrent pas là. Les biologistes finirent par découvrir encore que le nombre de chromosomes est spécifique, donc caractéristique pour chaque être vivant. Mais aussi, on découvrit que les chromosomes sont responsables du stockage, de la transmission et de l’expression des informations du patrimoine héréditaire. Donc, chez les organismes diploïdes (l’homme par exemple), chaque descendant possède deux copies de chaque type de chromosome, une copie reçue du père et une copie héritée de la mère, à l’exception des chromosomes sexuels chez les mâles, où un chromosome Y est hérité du père et un chromosome X hérité de la mère. Il existe donc, sur la base de la forme des chromosomes, une différence entre le mâle et la femelle, entre l’homme et la femme. En génétique, les chromosomes sexuels sont représentés par XY pour l’homme et par XX pour la femme. L’homme et la femme partagent un même type de chromosome, le chromosome X. Mais, c’est le chromosome Y qui est à la base de nombreuses différences fondamentales entre l’homme et la femme. En effet, le mécanisme de détermination du sexe est connu aujourd’hui aussi bien chez l’homme que chez les animaux. Au moment de la méiose (élaboration des cellules sexuelles ou semences), les hommes produisent des spermatozoïdes de deux types, X et Y, alors que les femmes produisent des ovules d’un seul type, X. Lors de la fécondation, si un spermatozoïde X rencontre un ovule X, l’enfant sera une fille (XX). Mais si un spermatozoïde Y rencontre un ovule X, l’enfant sera un garçon (XY). Ces faits ont été scientifiquement démontrés, expérimentés et vérifiés. Ce sont ces connaissances qui, de nos jours, permettent de choisir le sexe de son enfant dès sa conception.

La Bible l’avait déjà dit avec ses propres mots

Comme Jean Rostand (biologiste de renommée mondiale) l’a fait dans ses « Réflexions d’un biologiste« , nous allons procéder au raisonnement théorique que voici. Pour fabriquer l’homme, on a eu besoin de deux types de chromosomes, un chromosome X et un chromosome Y. Par contre, pour fabriquer la femme, on n’a eu besoin que d’un seul type de chromosome, le chromosome X. En d’autres termes, pour fabriquer une femme, on a absolument eu besoin d’un homme qui, lui, possédait déjà le chromosome X. Ou encore, on peut, à partir d’un homme, fabriquer une femme, mais l’inverse n’est pas vrai. « Dans chaque homme, se cache une femme« , a dit un sage africain. Les Saintes Écritures avaient déjà décrit ces connaissances. En effet, Moïse, auteur qui avait écrit par révélation divine le livre de la Genèse aux environs de 1450 av. J.-C., avait dit vrai, mais avec ses propres mots, car il ignorait l’existence des chromosomes. La Genèse exprime dans un langage qui lui est propre la création de tout ce qui existe. En ce qui concerne la création de la femme, Dieu révèle ceci à Moïse : « Alors l’Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme » (Genèse 2. 21,22). Le chromosome X serait-il cette côte que l’Éternel avait prélevée chez l’homme pour former la femme ? Pourquoi Dieu avait-il formé l’homme avant la femme ? Est-ce à cause des difficultés conceptuelles théoriques signalées ci-dessus (en l’occurrence l’absence du chromosome Y chez la femme) ? Quelle que soit la raison, nous pouvons constater une nette similitude entre les écrits bibliques et les découvertes scientifiques.

Et nous pouvons encore une fois déclarer que la Bible dit vrai.

Bibliographie

La Sainte Bible, Louis Segond. Nouvelle édition de Genève, 1979. Société Biblique de Genève. Paris et Genève, 1712 p.

Fondations Jean Brachet, 1992.- L’Homme et ses gènes. 1. P. Van Gansen (eds). Éd. de l’Université de Bruxelles. 124 p.

BLOCKER, A. et L. SALEM, 1994.- L’Homme génétique. Éd. Dunod, Paris, 320 p.

BERKALOFF, A., J. BOURGUET, P. et N. FAVARD, et J.-C. LACROIX, 1981.- Biologie et physiologie cellulaire. IV. Chromosomes, nucléoles, enveloppe nucléaire. Collection Méthodes – Hermann, Paris, 187 p.

11 juil. 2011

Les dinosaures et la Bible par le Dr Kent Hovind

Alors que l'on veut nous faire croire que le monde a des millions et des millions d'années, les faits prouvent que la Bible est LE livre qu'il faut étudier afin de connaître l'Histoire de l'humanité. Dieu/Yahweh est grand et à lui rien n'est impossible. Ne le limitons donc pas à notre petite vision humaine.


2 mars 2009

Un poisson étonnant: le Macropinna microstoma


Voici un drôle de poisson vivant au fond des océans. Pour résister à la pression ses yeux sont contenus à l'intérieur de son crâne qui est transparent.

Les capsules vertes sont les lentilles de ses yeux tubulaires. Elles reçoivent ainsi la lumière venant d'en haut.

Il ressemble
à un avion avec un cockpit transparent ou à un sous-marin.


25 févr. 2009

Sang et Tissus Dans Des Fossiles de Dinosaures!

par Carl Wieland

De vrais globules rouges provenant d’ossements fossilisés d’un Tyrannosaurus rex ? Avec des traces d’hémoglobine (protéine porteuse d’oxygène qui donne au sang sa couleur) ? Idée absurde pour ceux qui croient que ces vestiges de dinosaures datent d’au moins 65 millions d’années.

Par contre, ceux qui croient à la Genèse ne sont, bien sûr, pas du tout troublés, car pour eux les vestiges de dinosaures ont tout au plus quelques milliers d’années.

Dans un article récent1 publié par des scientifiques de l’Université de l’État du Montana, les auteurs ont apparemment de la peine à retenir leurs excitations et à faire preuve de prudence professionnelle devant les résultats de leurs travaux qui semblent indiquer de manière convaincante, la présence de sang chez un spécimen de T. rex.

Tout a commencé lorsqu’un squelette remarquablement bien préservé d’un T. rex a été déterré en 1990 aux États Unis. L’analyse des ossements transportés au laboratoire de l’Université de l’État du Montana a révélé que « certaines zones profondes du grand os d’une patte ne sont pas entièrement fossilisées ». Le fait d’avoir trouvé des ossements non fossilisés d’un dinosaure constitue déjà un élément qui cadre mieux avec l’hypothèse d’une date récente pour les fossiles (voir encart).

Mais laissons plutôt la parole à Mary Schweitzer, la scientifique la plus concernée par cette trouvaille, pour qu’elle nous relate son expérience lorsque à tour de rôle ses collègues ont examiné au microscope une fine lamelle de ces ossements de T. rex comportant des canaux de vaisseaux sanguins.

« L’étonnement a envahi le laboratoire, car je venais de repérer quelque chose dans les vaisseaux que personne n’avait remarqué jusque là : De minuscules objets ronds et d’un rouge translucide avec un centre foncé. Puis un collègue, au premier coup d’œil dans la lunette, s’est exclamé « Mais, ce sont des globules rouges que tu as là, ce sont des globules rouges2 Schweitzer fait part de ses doutes à son patron, Jack Horner. Comment peut-il s’agir de vrais globules rouges ? Ce célèbre paléontologue surnommé Jack aux Dinosaures lui lance un défi : qu’elle tente de prouver qu’il s’agit d’autre chose. Aujourd’hui, elle doit cependant avouer : « Nous n’avons toujours pas réussi à le faire ».

T-Rex soft tissue
Photos de Mary H. Schweitzer

Gauche: Vaisseaux sanguins.
Droit: Globules rouges dans un vaissel.

Évidemment, il serait tentant de rechercher de l’ADN de dinosaure dans un spécimen de ce genre. Mais des fragments d’ADN provenant de champignons, de bactéries et d’empreintes digitales humaines se trouvent aussi un peu partout. Bien que l’équipe du Montana ait en effet trouvé parmi les traces d’ADN de champignons, d’insectes et de bactéries un certain nombre de séquences non identifiables d’ADN, elle n’était pas en mesure d’affirmer qu’il ne s’agissait pas de séquences brouillées d’organismes contemporains. Cependant, ce problème ne se pose pas pour l’hémoglobine, c’est à dire la protéine qui donne au sang sa couleur rouge et qui transporte l’oxygène. L’équipe a donc recherché cette substance dans l’os du fossile.


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24 févr. 2009

L'origine des langues, des peuples et des races

Pierre Danis


Genèse 11 v 1 à 9 :

Il y a environ 4500 ans, il n'y avait qu'une seule famille, celle de Noé, car le cataclysme mondial du déluge avait éliminé tous les autres descendants d'Adam et Eve, une centaine d'années plus tôt. Ils parlaient la même langue (ils utilisaient le même code de mots) et habitaient la même région, la Mésopotamie, berceau de toutes les civilisations actuelles. Il n'y avait pas de races (groupes ethniques) puisqu'ils se mariaient entre eux, et toutes les caractéristiques physiques étaient manifestées.

Par exemple : Cham en hébreu = chaud ou bronzé, Kouch = noir, et plus tard Laban = blanc, Esaü = roux. La plupart des scientifiques créationnistes pensent qu'avant Babel, toute la palette de couleurs était représentée, mais que la couleur de peau dominante était le brun moyen.

Ils construisirent des villes avec des briques qu'ils maçonnèrent avec du bitume, puis bâtirent la fameuse tour de Babel, symbole de leur orgueil et de leur rébellion contre le Créateur (depuis ce temps-là, les hommes ont la manie de construire des tours). Ils ne voulaient pas être disséminés à la surface de toute la terre, contrairement à l'ordre de Dieu (Ge 9 v 1).

L'avantage de parler la même langue est de pouvoir mettre notre intelligence en commun et de travailler ensemble, mais à cause du péché, cela ne peut aboutir qu'au mal. Alors Dieu envoie un jugement, un châtiment : la confusion (Babel en hébreu). Les hommes ne se comprenant plus ont abandonné le chantier, et se sont rassemblé par groupes linguistiques, puis Dieu les a disséminés dans toutes les directions.

A partir de ce moment-là, ils cessèrent de se mélanger et ne se marièrent plus qu'au sein de leur groupe respectif, à cause de la barrière de la langue et de l'isolement géographique. C'est ainsi que se sont fixées les différentes caractéristiques physiques au sein de chaque peuple (taille, forme du nez et des yeux, couleur de peau et de cheveux...), donnant émergence à ce que nous appelons “races”. Il n'y a qu'un seul pigment (colorant) qui détermine la couleur de la peau, des yeux et des cheveux : La mélanine, et c'est son dosage qui fait les différentes couleurs, allant du brun foncé au beige clair. Le facteur principal est génétique, et non pas climatique ou nutritionnel. Chaque tribu a perdue quelques informations génétiques, ou subie quelques mutations mineures, mais n'a absolument pas acquis de nouvelles informations. Le même processus s'est produit dans le règne animal et végétal. Le créateur a prévu des variations au sein de chaque espèce, mais une espèce ne peut pas se transformer en une autre, comme le croient les évolutionnistes, en fait chacune se reproduit selon son espèce ( genèse 1 v 12 et 25).

C'est ainsi que sont nés les différents groupes ethniques ou tribus qui sont à l'origine des peuples d'aujourd'hui (au cours de l'histoire, certains groupes ont disparu, d'autres ont été absorbés, et d'autres se sont mélangé).

La notion de races supérieures ou inférieures est donc totalement fausse et non-scientifique, puisque nous sommes tous de la même famille d'origine. Le racisme est un fruit empoisonné de l'orgueil humain, et a été exacerbé par la doctrine erronée de “l'évolution des espèces” qui dit que certains peuples ont évolué plus vite, et ont supplanté les autres par la sélection naturelle (survie du plus fort au détriment du plus faible), ce qui justifie les génocides racistes et les “épurations ethniques”.

Il est vrai que des groupes ont perdu certaines connaissances technologiques (métallurgie, maçonnerie) ou agricoles, et ont adopté un mode de vie simple et rudimentaire (chasse, pêche, cueillette...) qu'ils ont gardé jusqu'à nos jours.

Ceux qui ont émigré vers le nord ont été confrontés au climat rude et froid de l'ère glaciaire, et se sont contentés d'habiter provisoirement dans des cavernes (Neandertal, Cro-magnon...).

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19 févr. 2009

Le Système Le Plus Dynamique De l'Univers

Admirez l'animation en 3D vers 1:10. À l'époque de Darwin la cellule était considérée comme un simple morceau de gélatine. Mais les récentes découvertes ont montré que le monde microscopique de la cellule est d'une complexité extrême. Le philosophe et mathématicien David Berlinski la compare à une galaxie. La cellule contient des autoroutes ou circulent des moteurs, il y a aussi des ports d'entrées et de sorties qui s'ouvrent et se ferment pour laisser passer l'information. La cellule fonctionne comme une ville et elle peut être comparée a une usine de nano-technologie produisant les composants qui la composent!

Cette video est tirée du documentaire "Expelled! No Intelligence Allowed" (Expulsé! Pas d'intelligence permise). Ce film qui est sorti l'année dernière aux USA, montre comment l'establishment scientifique expulse des chercheurs qui osent remettrent en question la théorie néo-darwinienne de l'évolution. Sans même prendre en compte les arguments de ces chercheurs.